24 décembre 2007
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On n’en voudra pas à Tino, paix à son âme. Mais en France comme ailleurs, chanter Noël ne saurait se résumer à son gentil « Petit Papa ». A bas la pensée unique, voici trois Joyeux Noël, très différents.
Humour tendre oblige, place d’abord à celui de Barbara (disparue il y a dix ans et un mois), un Joyeux Noël extrait de l’album Le Soleil noir (1968), et dont on peut entendre gratuitement un extrait sur le formidable site de l’INA, ici. J’ai découvert cette chanson grâce à Mathieu Rosaz, qui en 2002 a consacré son second album à la « longue dame brune » (production Le Loup du Faubourg) et c’est sa version que j’ai envie de vous faire entendre.
Signé Rémi Tarrier / Claude Préchac, le second Joyeux Noël est interprété par Allain Leprest (lui qui fait actuellement l’objet d’un très bel hommage – d’Olivia Ruiz, Daniel Lavoie, Jacques Higelin, Hervé Vilard, Sanseverino... -, dont j’ai parlé le 7 décembre), exercice très rare chez un auteur de sa densité. Allain l’a enregistré sur son album 4 de 1994 (Saravah), mais j’avais découvert la chanson dix ans plus tôt grâce à un trio féminin décapant, les Classées X, trio aujourd’hui dispersé dans d’autres aventures.
Enfin, le troisième Joyeux Noël vient de Ni vue ni connue (2005, Caroline Productions), premier CD d’une toute jeune femme à l’écriture et au caractère bien trempés, Marie Cherrier, passée par les Rencontres d’Astaffort chères à Francis Cabrel. Une demoiselle à suivre et qui vient d’ailleurs de sortir un second album pas dégueu, Alors quoi ? Mais ceci est une autre histoire... CQTC.
Humour tendre oblige, place d’abord à celui de Barbara (disparue il y a dix ans et un mois), un Joyeux Noël extrait de l’album Le Soleil noir (1968), et dont on peut entendre gratuitement un extrait sur le formidable site de l’INA, ici. J’ai découvert cette chanson grâce à Mathieu Rosaz, qui en 2002 a consacré son second album à la « longue dame brune » (production Le Loup du Faubourg) et c’est sa version que j’ai envie de vous faire entendre.
Signé Rémi Tarrier / Claude Préchac, le second Joyeux Noël est interprété par Allain Leprest (lui qui fait actuellement l’objet d’un très bel hommage – d’Olivia Ruiz, Daniel Lavoie, Jacques Higelin, Hervé Vilard, Sanseverino... -, dont j’ai parlé le 7 décembre), exercice très rare chez un auteur de sa densité. Allain l’a enregistré sur son album 4 de 1994 (Saravah), mais j’avais découvert la chanson dix ans plus tôt grâce à un trio féminin décapant, les Classées X, trio aujourd’hui dispersé dans d’autres aventures.
Enfin, le troisième Joyeux Noël vient de Ni vue ni connue (2005, Caroline Productions), premier CD d’une toute jeune femme à l’écriture et au caractère bien trempés, Marie Cherrier, passée par les Rencontres d’Astaffort chères à Francis Cabrel. Une demoiselle à suivre et qui vient d’ailleurs de sortir un second album pas dégueu, Alors quoi ? Mais ceci est une autre histoire... CQTC.
Mathieu Rosaz - Joyeux Noël - 3’01
Allain Leprest - Joyeux Noël - 3’
Marie Cherrier – Joyeux Noel - 4'32