Au cœur et autour de la chanson francophone, encore si méprisée des gens de pouvoir et de médias, alors qu'elle est vivante comme jamais au quotidien et dans l'Histoire en marche...
Si ces derniers mois j’ai beaucoup eu recours ici à Jean Ferrat, c’est d’abord parce que je l’aime profondément, qu’il a toujours été le chanteur qui me touche le plus, avec lequel je me trouve en accord maximal, tant sur la forme que sur le fond, et...
Lire la suiteBien sûr, on ne peut pas tout savoir. Même lorsqu’on évolue au plus haut sommet de l’état. On n’est pas pour autant obligé de jouer au « cador » en se fendant de subtiles considérations à la noix, fût-ce en Périgord. Le dimanche 12 septembre, visitant...
Lire la suiteLa chasse aux Roms menée par le pouvoir, le recours forcené - et classique - au thème de l’insécurité à des fins électorales évidentes, assortis d’œillades vers le poujadisme le plus bas et l’idéologie haineuse du FN, ont choqué jusque dans les rangs...
Lire la suiteÇa y est, sar’kogne ! Gens du voyage, roms, immigrés… un fait divers dramatique et hop, on mélange tout. Émotion piège abscons. Solution prison. Vulgarité adroite : on vote dans deux ans, donnez-vous Le Pen d’entrer. Jean Ferrat, dont not’ bon Président...
Lire la suiteRetour sur ce blog, après deux mois et demi de pause consacrés aux dernières pages d’une biographie de Jean Ferrat qui aura nécessité plus de deux années de travail. Nous en reparlerons en temps utile, mais aujourd’hui entre les dégâts collatéraux du...
Lire la suiteNom d’un chien ! Voilà que sans le vouloir notre premier sinistre rend hommage à Jean Ferrat. Rebondissant sur une remarque de not’ bon Président sur le fait que « certains riches ne paient pas plus de 20% d’impôts en abusant des niches fiscales » , il...
Lire la suitePour terminer cette semaine sur Jean Ferrat (mais d’autres chansons apparaîtront bien sûr régulièrement sur ce blog), clin d’œil à l’un de ses meilleurs auteurs, Henri Gougaud, et apothéose avec Christine Sèvres, femme et chanteuse exceptionnelle avec...
Lire la suiteEn décembre 1965, dans l’excellent premier 30 cm de Jean Ferrat, exemplaire de sa diversité d’inspiration (Potemkine , C’est si peu dire que je t’aime - d’après Aragon -, Les Belles Étrangères , Je ne chante pas pour passer le temps , La voix lactée (S.G.D.G.)...
Lire la suiteJean Ferrat a toujours pris la chanson d’expression (c’était son terme) très au sérieux. Bien entendu, elle revêt chez lui différentes formes, et à côté des grandes envolées poétiques, amoureuses, humanistes… il a écrit des pamphlets « partisans », caustiques,...
Lire la suiteJean Ferrat est indiscutablement celui qui a fait le plus descendre la poésie d’Aragon dans la rue, parce qu’il a toujours cherché l’angle chanson, n’hésitant pas à « trafiquer » à l’occasion telle ou telle strophe, isolant, intervertissant tel ou tel...
Lire la suite