17 novembre 2008
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Après le pitoyable spectacle « socialiste » de Reims, où la Sego et les egos ont éclairé le tréfonds de leurs progrâmes, Jaurès a encore pris un mauvais coup et la « Merveilleuse gauche française » d’hier semble renaître comme aux plus beaux jours.
Dans Les Marquises (Ségolène et Martine ?), son ultime album de 1977, Jacques Brel égraine la douloureuse complainte historique à l’obsédante question : « Pourquoi ont-ils tué Jaurès ? » A Reims, ladite question, on ne se l’est visiblement pas posée, lors de la nuit des seconds couteaux.
Pauvre Bertrand qui a explosé en vol, il mérite bien une réflexion aznavourienne ; comme les autres quart de finalistes, il s’y voyait déjà, mais là, c’est râpé (façon G Kill) !
En fait, cette Merveilleuse gauche française ne date pas d’hier, comme nous le rappelle cette chanson de quarante ans d’âge (effectivement datée, mais opportune) de Guy Bontempelli. CQTC.
Guy Bontempelli – Merveilleuse gauche française - 3'13
En fait, cette Merveilleuse gauche française ne date pas d’hier, comme nous le rappelle cette chanson de quarante ans d’âge (effectivement datée, mais opportune) de Guy Bontempelli. CQTC.